Burn the bitch ! Burn !

Le groupe va rencontrer Il Babau et la Comare au forum. Ils expliquent ce qu’ils ont découvert sur les Anarchs dans la Rosa Nera. Le Prince décide, après avis de la Coterie, d’envoyer des hommes enlever une goule anarch pour l’interroger. Il est surpris que les Anarchs tentent quelque chose alors que la situation actuelle est parfaite pour tout le monde. Il enverra la Shérif les chercher pour débriefer.

En attendant la convocation Luigi va chercher son costume ignifugé.

3 jours plus tard, Elisa la Shérif les convoque à la tombé de la nuit. Le groupe se rappelle ce qu’ils savent d’elle : une vieille vampire qui a servit d’espionne pour les Banu-Hakim contre la société de Léopold et à toujours été à Rome. En passant d’allégeance elle a juré de toujours respecter les Nosfératus. Ce que le Bibliotecario essaye de mettre à l’épreuve. Elle leur dit qu’ils ont réussi à faire parler une goule et que ce serait Dolce Voce qui serait derrière le bordel. Elle leurs demande s’ils pensent qu’il faut faire des pourparlers ou une démonstration de force. Ils sont tous pour la force. Elisa leurs dit de la suivre. Ils montent dans des vans et foncent vers le bordel.

Et là c’est un massacre. Luigi se fait plaisir jouant avec les ombres et ses poings. Le Bibliotecario tire sur tout ce qui bouge. et Elisa laisse sa bête parler. La Coterie peut sentir le peu d’humanité qui lui reste et à quel point elle aime tuer et détruire. Une fois tout les employés tués. Elisa leurs tranche la tête et va les confier à Nadia qui devra faire passer le message à Dolce Voce. Puis ils mettent le feu à l’établissement. La guerre est déclarée.

Au retour vers leur havre le groupe voit qu’ils sont suivis. Ils vont jouer au chat et à la souris jusqu’à ce qu’ils soient menacés par un lance-flamme. Et là, proche de la Place du Peuple, un jet de lance flamme est filmé, puis un coup de canne épée tranche une gorge, et une voiture fonce pour finir emboutie dans un poteau. Luigi en sort portant un blessé sur son épaule et cours poursuivi par la police. Il se jette dans le Tibre et rejoint à la nage, le passage secret qui l’amène à son havre. Il ne reste plus qu’à interroger le prisonnier.