Lilith’s Crasher
La coterie se retrouve avec Cinaglia à la bibliothèque de la Galeria Nationale. Ils y sont conduit par un employé qui semble savoir qui attendre et être d’une très grande discrétion. En examinant la page, le Bibliotecario se sent happé par elle.
Il se retrouve dans une grotte, avec du mobilier très primitif. Il y voit deux personnes une femme et un homme à ses genoux. Étant un noddiste il reconnait Lilith et Caïn, surtout qu’il perçoit la marque de Dieu sur ce dernier. Ce qui le trouble encore plus c’est qu’ils lui parlent. Ils n’arrivent pas à comprendre ce qu’il fait là, comment il est arrivé là et de quoi il parle : malédiction, père de tous, retour dans le passé…
Quand Lilith va lui dire autre chose, il est projeté dans la réalité par une baffe de Luigi qui s’est inquiété par la crise d' »épilepsie » que le Bibliotecario était entrain de faire.
S’ensuit une discussion avec Cinaglia, qui explique qu’il fait partie d’un mouvement Garou, assez minoritaire, qui pense que la lutte inter espèce a presque provoqué la fin du monde et que la paix, comme peut être à Constantinople (il a vaguement entendu parler du Rêve et sait que Vykos y était), est la meilleure façon de protéger le monde. Il est, même s’il ne le dit pas, jaloux de ne pas avoir fait un trip mystique comme le nosferatu. Il admet qu’il cherche les autres pages et qu’il a demandé à un contact Sidhe s’il n’y en avait pas une à Arcadia. Il aura bientôt sa réponse. Par contre il ne connait pas de mage. Il leur dit d’aller à la trattoria « Vino e Pane » et de dire qu’il cherche Romulus, le message lui parviendra. Là-dessus ils se quittent.
Dario a rencontré une mage il faudrait se renseigner sur elle, et le meilleur contact qu’ils ont est Donna Olimpia. Ils lui laissent un message pour la rencontrer. Luigi essaye de voir dans la mafia s’il y a des infos mais sans nom de famille personne ne sait de qui il parle.
Le lassombra fini par aller voir Veronica pour parler business. Elle lui parle d’un costume ignifugé qu’elle peut lui avoir. Elle le lui fournira s’il l’aide à retrouver une cargaison d’armes qu’on lui a volée.
Le jour se passe. Luigi et le Bibliotecario font le même rêve : dans un paysage sans couleur, avec une lune pleine et grosse, des étoiles d’un autre temps, ils sentent une présence menaçante et ils entendent le rire de Lilith au loin. Ni la menace, ni la Mère sombre ne sont trouvables, mais le repos est difficile.
Luigi va interroger assez violemment les deux conducteurs, Ali et Suleiman, qui finissent par se rappeler un nom : Zeno. En interrogeant leurs contacts, la coterie pense que c’est un membre d’un gang du sud de Rome. Le gang crèche dans un garage. Après une reconnaissance du nosfératu, le lassombra se faufile discrètement et s’assure que les membres du gang dorment profondément. Puis un obstacle de taille se dresse devant lui : une porte avec digicode. Il prend un bureau en métal et défonce la porte puis récupère juste la marchandise volée qu’il ira cacher dans un garage sous-terrain.
En rentrant chez eux, le groupe peut voir un message de Donna Olimpia : ils ont rendez-vous le lendemain soir avec elle au cimetière anglais à la tombe de Keats.