Monstres mais honorables
Il Bibliotecario reste sur la scène de crime pour essayer de voir si d’autres tueurs sont là. Il ne voit personne mais arrive à entendre que le nom de Dario est mentionné.
Luigi, lui interroge de façon un peu musclée son invité. Après une heure de travail au corps ce dernier est brisé. Il avoue faire parti d’un groupe de mercenaire commandé par Faisal Hafiane, Vivaldi CMP. Ils devaient les amener dans un entrepôt en banlieue. Luigi fini par appeler Faisal et lui dit qu’entre hommes de métier l’honneur compte et qu’il lui ramènera son homme demain mais qu’il aimerait bien savoir qui leurs en veut. Faisal lui indique juste que c’est une attaque politique.
Le lendemain il Bibliotecario et Luigi ramène le pauvre mercenaire à son patron en le laissant dans une voiture sur une aire d’autoroute. Dario lui va s’expliquer au commissariat. Il donne une conférence de presse avant de parler au commissaire. Il explique que des groupes non identifiés d’extrémistes anti liberté l’ont déjà menacé et veulent le faire taire car ils sont jaloux de la liberté et la tolérance offertes par l’Italie. Il montre son port d’arme pour sa canne épée et explique qu’il a défendu des innocents et qu’il le referait sans aucune hésitation. Il ne sait pas si le commissaire le croit ou non mais en tout cas il a fait bonne impression au près des journalistes et du public.
Le groupe décide d’aller voir le Tre Venezie mais avec l’incendie la rue est barrée ils reviendront plus tard.
Ils essayent de se renseigner sur les activités Anarch mais font choux blanc au près de leurs contacts humains. Ils décident d’aller voir au 8 millimetri pour tâter le terrain du côté vampirique. Après avoir montrer leurs canines ils sont acceptés dans la partie vampirique du bar. Peu de vampires sont là : un cama, Nadia et la Baronessa. Ainsi que des poupées de sang qui s’empressent autour des nouveaux venus.
Nadia va se présenter à eux, puis introduit la cheffe Anarch. Là une joute verbale entre le groupe et elle se déroule. Elle ne comprend pas trop ce qu’ils veulent. Ils semblent pas mal sous entendre que les Anarchs les ont attaqués. Ils parlent de l’incendie sans mettre tout à fait les pieds dans le plat et elle semble ne pas saisir le sous texte. Luigi insiste sur la seconde inquisition mais elle ne semble pas très impliquée, elle leurs conseille d’être plus discrets. Ils n’en tirent pas grand chose mais à aucun moment elle semble avoir été menaçante seulement perplexe.
La Baronessa les quitte retournant leurs souhaitant bonne continuation.